À la Saint-Serge, venez faire la fête à Babary… pour son départ !

INVITATION OFFICIELLE
Samedi 7 octobre à 14h30 devant l’Hôtel de Ville de Tours

En 2014 Babary avait promis aux Tourangeaux d’être « 100 % Maire ». En 2017, trahissant cette promesse, il choisit d’aller s’embourgeoiser davantage sous les dorures du Sénat jusqu’en 2023.

Finalement, quel est le bilan de ce maire à 50 % ?

  • Augmentation de 15 % des indemnités des élus de Tours.
  • Augmentation des impôts locaux en contradiction avec les promesses de campagne.
  • Connivence avec les multinationales du BTP, de l’hôtellerie, de la malbouffe, comme le montrent la future démolition du Sanitas, l’aménagement du Haut de la rue Nationale, le MacDo place du Grand Marché, le projet de l’îlot Vinci, la poursuite des constructions de Monconseil et des 2 Lions sans volonté de vie sociale de quartier, etc.
  • Elargissement de l’arrêté anti-mendicité et évacuation des migrants du Sanitas.
  • Attitude très distante vis-à-vis des résidents expulsés du Foyer Albert Thomas et indifférence à la faillite du café associatif La Barque.
  • Aucune politique volontariste pour donner un toit aux personnes sans abri.
  • Baisse des subventions et hausse des tarifs de location des salles pour les associations tourangelles.
  • Caricature de démocratie participative, avec moins de projets citoyens et une baisse des budgets des Conseils de la Vie Locale. Et surtout mise en place de la rénovation du quartier Sanitas sans que les habitants puissent réellement participer, comme le prévoit la loi, à un projet qui les concerne directement.
  • Réalisation du projet du « forum Méliès » à Tours-Nord avec la création par le groupe Davoine d’un cinéma multiplex mettant en danger les cinémas existants du centre-ville.
  • Suppression du festival culturel gratuit « Rayons Frais », mais en revanche promotion de la célébration cultuelle onéreuse des 1700 ans de Saint-Martin de Tours.
  • Dépense inutile pour le changement de 240 horodateurs sur la période 2016-2017 pour un coût total de 930.000 €.
  • Désengagement dans l’entretien des locaux sportifs de la ville et tentation de les céder à des privés.
  • Position ambiguë sur le maintien en régie municipale de la cuisine centrale.

À cela, il faut ajouter que Serge Babary, en tant que premier vice-président de Tour(s)plus, devenu Tours Métropole Val de Loire, a participé à la mise en œuvre de décisions pas moins contestables. Il partage cette responsabilité avec les 22 membres du bureau métropolitain, dit « bureau des maires », qui, dans une absence totale de démocratie et de transparence, décident de tout pour tous.

  • Augmentation du prix des titres de transports en commun.
  • Financement pour 700.000€ d’un terrain de hockey sur gazon peu utilisé.
  • Achèvement du deuxième virage surélevé du circuit Nascar pour 480.000 € et 2 courses par an.
  • Maintien des aides à hauteur d’un million d’euros par an à l’aéroport de Tours Val de Loire, dont les deux tiers vont à la compagnie voyou Ryanair.
  • Poursuite des transferts de compétences des communes vers la Métropole avec pour conséquence un éloignement des citoyens de la prise de décision publique.

Cette liste est volontairement incomplète.

Venez l’enrichir, en débattre, prendre vous-même la parole à cette nouvelle agora citoyenne de C’est au Tour(s) du Peuple !

C’est au Tour(s) du Peuple (CATDP)
7 octobre 2017

Posts les plus consultés de ce blog

Résultats de l’Enquête public Tram 2. Un projet coûteux, tournant le dos à un véritable plan de transports métropolitain.

L’enquête publique pour le projet de deuxième ligne du TRAM a reçu 1117 contributions pour l’essentiel critiques ou carrément contre ce projet. L’avis favorable serait donc surprenant !

Ce projet tourne le dos aux choix suivant la première enquête qui avait rejeté le tracé par J. Royer et ne tient compte

  • ni des évolutions des besoins en transports collectifs (plus de lignes et de dessertes, plus de régularité, plus de désenclavement des services publics de santé, d ‘éducation, ... des liaisons avec Saint Pierre des Corps (gare et quartiers), des communes avoisinant la métropole…)
  • ni des avancées techniques avec les bus sur roues (à Hydrogène), de l’état des finances locales
  • des réserves contestations qu’il suscite

Tout cela sans réel débat public !

Les contributions à l’enquête publique relèvent ces enjeux et devrait conduire à un autre plan démocratiquement décidé de développement des transports publics dans la métropole et à ses alentours ! Cela devient urgent.

Voici quelques contributions sélectionnées par C’est Au Tour(s) Du Peuple<:p>

C’est Au Tour(s) Du Peuple
Novembre 2024

C'est Au Tour(s) Du Peuple s'affirme FÉMINISTE par ce que nous refusons et combattons

  • Toutes les dominations patronales, sociales, politiques
  • Les inégalités : de salaire, d’accès aux droits, aux responsabilités
  • Les violences faites aux femmes et aux enfants

Contre le patriarcat dont nous sommes toutes et tous héritier(e)s en commun, nous devons agir ensemble. Le FÉMINISME ne doit pas se situer dans un antagonisme Hommes / Femmes. La question n'est pas de faire la guerre aux hommes mais d'agir, hommes et femmes ensemble, pour une révolution sociale et politique.

Notre association, depuis sa création en 2013, agit en ce sens. Nous avons des propositions que nous partageons et échangeons avec les organisations progressistes. Nous agissons aussi dans la rue auprès des populations. Nous avons créé et faisons vivre un « Labo féministe » au sein de notre association qui anime la réflexion collective.

Voici quelques unes de nos positions / revendications réaffirmées et d'autres marquées par l'actualité.

La Maison des Femmes

Dès 2013 la création d'une Maison des femmes fut inscrite dans le programme revendicatif de CATDP. Nous nous félicitons donc de la réalisation de celle au sein du CHU, tout en constatant que l'équipe pluridisciplinaire qui l'anime manque cruellement de moyens.

Un appel aux dons et au mécénat privé, a été lancé afin de recueillir 1,4 M€ (vive la défiscalisation!!). Cette somme est nécessaires à la construction de nouveaux locaux et au développement des actions de la Maison des femmes en direction des femmes avec un accès gratuit et ouvert à toutes.

C’est scandaleux ! La lutte contre les violences faites aux femmes pour leur reconstruction ne peut, en effet, être fondée sur la « charité » mais sur une prise en charge sociale avec des financements publics !

Face à l'urgence sociale, il faut aller plus loin

  • Refuser que des familles, enfants, adultes dorment à la rue.
  • Développer les accueils (nuit et jour) de femmes de tous les âges et enfants, l'accès au logement pour une vie digne et sécure.
  • Permettre l’accès aux droits, à tous les droits, pour que chacun(e) puisse se soigner, se former, travailler, faire face aux dépenses quotidiennes, accéder à la culture.
  • Créer et animer, partout des lieux de vie sociale collective, renforcer ceux existants comme dans les centres sociaux.
  • La prévention, l’éducation doivent accompagner ces ambitions.
  • Combattre les régressions voulues par les droites, des macronistes au RN : sur les retraites, le chômage, la loi immigration, l'implantation et le financement d'écoles sous contrat qui promeuvent l'homophobie, le mouvement prolife, le « séparatisme »…
  • Combattre aussi les pressions et dérives sectaires, religieuses qui contribuent à l’oppression des femmes et des violences qu’elles subissent dans les espaces publics et privés.

Pour cela, nous réaffirmons l’urgence de :

  • DONNER LES MOYENS AU FONCTIONNEMENT de la MAISON DES FEMMES
    DÉJÀ CRÉÉE. Les services de l’État et les collectivités doivent apporter les 1,4 M€ nécessaires aujourd’hui à la Maison des Femmes. Pour rappel, les subventions publiques annuelles à l’aéroport et Ryanair sont de 2,5 M€ !
  • ÉLARGIR LE PROJET DE MAISON DES FEMMES à des lieux d’accueil (nuit/jour) inconditionnels pour l’accès aux droits, des activités éducatives et culturelles, des actions collectives.
  • UN PLAN AMBITIEUX DE CRÉATION DE D’HÉBERGEMENTS D’URGENCE ET
    DE LOGEMENTS PÉRENNES pour les femmes et familles victimes de violences et / ou à la rue.
  • UN RENFORCEMENT DU SOUTIEN AUX ASSOCIATIONS qui agissent auprès des femmes et avec elles, pour leurs droits, leur liberté de choix, leur dignité et intégrité physique.
  • RENFORCER LA PRÉVENTION ET L’ÉDUCATION à l’école, avec du temps et de la formation pour les enseignant.es, dans les lieux éducatifs, en soutenant les associations qui font déjà un travail remarquable avec peu de moyens et de reconnaissance.
  • SUPPRIMER TOUS LES PANNEAUX PUBLICITAIRES IMPLANTÉS DANS L’ESPACE PUBLIC. Ces panneaux vendent les corps des enfants, des femmes et des hommes, ils valorisent la consommation excessive et consomment de l’énergie inutilement, en éclairage et mécanique.
  • LUTTER CONTRE LA PORNOGRAPHIE EN LIGNE
  • RESTER VIGILANTS ET RÉACTIFS pour défendre les droits à la contraception et à l'avortement. Le texte constitutionnel adopté par l'Assemblée a exclu le terme de « droit » et laisse la responsabilité au législateur de « réguler » l’accès à l'avortement sans remettre en cause la clause de conscience.........
  • EXIGER UN CONTRÔLE DE TOUTES LES ÉCOLES PRIVÉES SOUS CONTRAT les établissements scolaires Averroès à Lille* et Stanislas à Paris ne sont pas des exceptions !
Texte de positionnement réalisé et validé par les adhérent.es de l’association
C’est Au Tour(s) Du Peuple
Tours, février 2024